Justice est passé de la hype à la reconnaissance mondiale. En remixant Simian pour ce qui est devenu un énorme hit, ls ont créé une machine à tuer les dance floor. D’abord vénérés pour leurs dj sets telluriques (fusion d’euro dance, de rock et de techno), on acclame maintenant leur facilité à pondre des tubes. 
Leur premier album intitulé † dans lequel ils dévoilent leur face sombre est l’événement musical de l’année. Après voir écumé les festivals cette été , ils reviennent avec un tout nouveau live de rentrée.

Autoproclamé « moteur de recherche et d’expérimentation impliqué dans une recherche artistique autour de la question de statut des médias », Sir Bob Cornelius Rifo aka The Bloody Beetroots n’oublie ni la musique (quitte à citer Debussy au même rang que Daft Punk) ni la danse (qui à provoquer le pogo). Fer de lance d’une folle scène électro italienne, The Bloody Beetroots a multiplié les coups de mains et les coups de force jusqu’à donner l’impression de contrôler la machine. The Bloody Beetroots is back.

Depuis un an, Pharell règne en maître incontesté sur la planète bon goût, fondateur de l’audioblog Fluokids , qui relate sous couvert de mp3 bien placés le quotidien animé de fête et d’amour de 8 vingtenaires français, anglais et suédois. Fluokids c’est surtout la playlist d’une génération qui n’a pas peur d’affirmer ses goûts, une génération qui danse sur Justin Timberlake, se réveille avec Arpanet ou LFO, pleure sur les Klaxons, lève les bras sur Justice, juste des gamins élevés par MTV, les Daft Punk et Blur.

Tel un correspondant français d'Arab Strap qui aurait grandit avec les séminaux Diabologum, Nicolas Tochet (Melatonine, MWTE) aka {{Zéro Degré }} cristallise sa vision acerbe des choses simples de la vie quotidienne, refroidit ses instruments à cordes (guitares, basses, violons, violoncelles...) tout en réchauffant ses boucles électroniques (samples, rythmes, voix…).