RONE
Sur scène à 21h35 En même pas 10 ans, le producteur français {{Rone}} s’est imposé comme un acteur majeur de la scène électronique française, grâce à un univers original où la douceur des mélodies peut chavirer à chaque instant dans l’expression libératoire des machines. Les albums « Spanish Breakfast » (2009) et « Tohu Bohu » (2012) ont révélé la sensibilité de ce musicien autodidacte débordant de créativité, d’enthousiasme et de personnalité, tandis que « Creatures » (2015) a davantage ouvert la voie aux collaborations avec des artistes comme Etienne Daho, Bryce Dessner, Frànçois Marry de François & the Atlas Mountains, Gaspar Claus mais aussi Yael Naïm, Jean-Michel Jarre, etc. Ancien élève de cinéma, Rone a aussi développé un univers visuel riche et singulier en sachant s’entourer de créateurs inspirés aussi bien pour ses pochettes que pour ses clips. Sur scène, la musique de Rone prend toute son envergure et se vit comme une véritable expérience. Au fil des années, il a su conquérir le cœur du public avec ses lives exceptionnels aux quatre coins du monde, se produisant aussi bien en festivals que dans de grandes salles prestigieuses. Avec « Mirapolis », Erwan Castex ouvre un nouveau chapitre peuplé de rencontres inédites, à commencer par celle avec Michel Gondry à l’origine de la pochette de cet album. En parallèle, il entame une longue tournée durant laquelle le public pourra découvrir ses nouvelles créations et entendre les morceaux incontournables qui ont fait le succès de Rone.
Monolithe Noir
Franchement Kraut, carrément analogique, 100% beauté atmosphérique.
Batteur de formation et imprévisible dans ses choix, Antoine Messager-Pasqualini mêle toutes ces expériences musicales pour étoffer ses morceaux. Que sa musique invoque le drone, l’electronica ou des climats plus expérimentaux, la percussion et la construction rythmique ont toujours été centrales dans les compositions de Monolithe Noir. La Bretagne, l’envie de la retrouver et la redécouvrir a été centrale dans l’écriture du disque et dans l’imaginaire qui en émane. Chemins creux, arbres noueux et râblés, côtes ciselées, lande, Brest, les villages esseulés, les zones périurbaines, une centrale nucléaire en plein Monts d’Arrée. « Rin » explore plein de paysages différents mais sans chercher à planter l’auditeur·rice en pleine forêt.