



Chez Romain Muller, la chanson française vagabonde. Elle s’aventure vers des sonorités synthpop et des rythmiques électroniques, se teinte parfois d’accents disco, avec une idée derrière la tête : faire danser les cœurs sensibles.
Sa voix feutrée porte autant des balades rêveuses aux ritournelles entêtantes que des morceaux aux riffs accrocheurs et à l’énergie plus intense. Il construit une pop moderne et tout en nuances dans laquelle l’élégance atmosphérique façon French touch côtoie la sensualité et le groove d’influences néo-disco. Les mots sont simples mais choisis avec soin pour des titres imaginés comme une succession d’instantanés dans lesquels s’entremêlent des moments de vie, des souvenirs d’enfance et des divagations nocturnes.
Après deux EPs et un premier album remarqués, entre autres, par France Inter ou l’émission Culturebox et une belle série de concerts, notamment en premières parties de Bertrand Belin, Juliette Armanet ou encore au MaMA festival, Romain Muller est de retour cet automne avec un deuxième album intitulé Azur.